Pass vaccinal, test PCR... Tout ce qu'il faut savoir pour aller au Maroc en 2022

Alors que le Royaume s'apprête à rouvrir son ciel après deux mois de déconnexion, le gouvernement marocain a dévoilé son nouveau protocole anti-Covid pour les voyageurs.

Badr Kidiss
Badr Kidiss
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Déserté en octobre dernier, l'aéroport de Marrakech va bientôt accueillir des touristes
Déserté en octobre dernier, l'aéroport de Marrakech va bientôt accueillir des touristes  —  Maleo Photography / Shutterstock

Les préparatifs s'accélèrent. A l'approche de la date de la réouverture des frontières du Maroc, le gouvernement d'Akhannouch multiplie ses efforts pour limiter les contaminations au Covid-19. Si le Royaume assiste depuis quelques jours à une baisse du nombre de cas positif, l'exécutif reste sur ses gardes. La preuve ? Il suffit de jeter un oeil sur son nouveau protocole anti-Covid pour les voyageurs qui veulent séjourner au Royaume chérifien. Entre le test PCR et le pass vaccinal, voici tout ce qu'il faut savoir. 

Les conditions d'accès au Maroc

Les mesures concernant les conditions d'entrée des touristes au Maroc, notamment ceux en provenance de la France où le nombre de contaminations au Covid-19 est inquiétant, viennent d'être annoncées par les autorités. Pour profiter du soleil et de l'hospitalité marocaine, il faudra : 
- présenter un pass vaccinal 
- avoir un résultat d'un test PCR négatif de moins de 48h avant le vol 
- être soumis à un test rapide dès son arrivée au Maroc

Pour garantir la réouverture des frontières en toute sécurité, le gouvernement évoque aussi "la possibilité d’effectuer un test supplémentaire à l’hôtel ou au centre de résidence pour les touristes, après 48 heures de leur entrée au territoire national". 

Et si on est positif, il se passe quoi ?

Dans un communiqué relayé par l'agence de presse Map, les autorités annoncent la mise en place de mesures spéciales pour les cas positifs identifiés dans les aéroports du pays. Les voici : 

- L’obligation pour les cas positifs normaux d’observer un confinement sanitaire dans les lieux de leurs résidences, tout en les soumettant à un suivi minutieux. 
- Le transfert des cas positifs difficiles et critiques aux hôpitaux pour recevoir les soins nécessaires

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