Cristiano Ronaldo ouvre une clinique dédiée au diagnostic et au traitement de la calvitie

Alors qu'il s'apprête à disputer son dernier Mondial, CR7 vient d'ouvrir à Milan un nouveau centre médical dédié au diagnostic, au traitement et à la recherche sur l'alopécie.

Badr Kidiss
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Cristiano Ronaldo s'apprête à disputer sa cinquième Coupe du monde
Cristiano Ronaldo s'apprête à disputer sa cinquième Coupe du monde  —  sbonsi / Shutterstock

C Hair 7. Alors que son avenir à Manchester United s'inscrit en pointillés et qu'il avance nimbé de doutes vers son cinquième Mondial, Cristiano Ronaldo continue d'investir dans des secteurs d'activité très variés. Le dernier en date ? Une clinique capillaire à Milan. Une de plus, car depuis que la superstar "bling-bling" s'est associée avec un spécialiste pour cofonder la société Insparya, de nombreuses cliniques ont vu le jour un peu partout.  

Dédié au diagnostic, au traitement et à la recherche sur l'alopécie, c'est-à-dire la calvitie, ce nouveau centre de 1200 mètres carrés dispose de 14 salles de greffe de cheveux. "C'est un projet unique et innovant, en cohérence avec ma philosophie", a expliqué le footballeur ombrageux qui se dit "passionné de santé, de technologie et de recherche". La greffe de cheveux, qui dure entre huit et dix heures, a la réputation d'être le moins risqué des actes de chirurgie esthétique.

"L'image est un outil essentiel"

Redoutable homme d'affaires et troisième joueur de foot le mieux payé de la planète cette saison, le Portugais est aussi revenu sur son choix de développer ce business à Milan :"L'Italie est un pays qui m'a fait sentir chez moi. Les Italiens sont également très soucieux de leur image, ils aiment prendre soin d'eux-mêmes et de leur santé, et ils ne s'en cachent pas. C'est pourquoi je pense que la qualité d'Insparya les surprendra et les séduira". Mais ce dieu du stade aux cheveux gominés oublie sans doute de nous dire que l'industrie capillaire ne cesse de se développer. Il n'y a qu'à regarder tous les footballeurs qui ont eu recours à une greffe pour masquer leurs chutes de cheveux et autres calvities plus ou moins naissantes.

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Si Paulo Ramos, le PDG d'Insparya, a confié avoir imaginé le concept des cliniques dédiées à la calvitie après avoir lui-même souffert de ce problème pendant plusieurs années dans sa jeunesse, le footballeur aux 37 ans révolus, a expliqué qu'il n'avait jamais eu recours aux implants. Mais cela pourrait changer. "Quand j'en aurai besoin, bien sûr ! L'image est un outil essentiel pour réussir. Pour moi, c'est fondamental", avait-il déclaré en 2019 lors de l'inauguration de sa première clinique à Madrid. 

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